SAINT-MARTIN-DU-BEC. Le vivre ensemble se décline dans les actions et les projets de la municipalité.
Mardi, c’est à l’institut d’éducation motrice (IEM) Paul Durand Viel, que s’est déroulée la cérémonie des voeux, des voeux où le bien vivre ensemble est souvent revenu. Entouré de son équipe, du conseiller régional et général, François Auber et Bertrand Lefrançois, de Michaël Mathieu directeur du centre, du conseil des jeunes, le maire Philippe Jouenne a tout d’abord invité l’assemblée à respecter une minute de silence en hommage aux victimes des attentats. Le vivre ensemble, c’est le choix qu’ont fait la municipalité et le centre en travaillant ensemble sur différents projets, c’est autour de l’école, des différentes manifestations avec les associations, la bibliothèque… L’élu soulignera que ce vivre ensemble a pris une dimension particulière et forte suite aux dramatiques évènements. Et s’il est un grand projet, décidé et validé ensemble, par les salariés du centre, les professionnels, les parents, les enfants, c’est celui de la restructuration de l’IEM. Un projet lié au PLU qui sera arrêté en février, un projet nécessaire à l’évolution du centre, ambitieux pour améliorer le quotidien des locataires. La municipalité espère encore renforcer les liens qui l’unissent au centre en envisageant notamment un espace de restauration commune et pourquoi pas à terme, un rapprochement plus important entre les deux écoles. Parmi les autres projets, l’aménagement autour du terrain de foot avec si les finances le permettent, l’aménagement d’un petit chemin pédestre paysager. La municipalité a également redéposé au conseil général le projet de création de la nouvelle mairie adossée à la salle polyvalente et pour lequel elle attend le verdict dans les prochains jours. Le vivre ensemble, un voeu que le maire a formulé également pour l’intercommunalité, pour toutes les sensibilités soient mieux entendues, pour que les compétences de chacun et les atouts de nos communes, conduisent à élaborer un véritable projet de territoire, assumé par une intercommunalité plus forte, avec de nouvelles compétences et les moyens de les exercer. En conclusion, l’édile terminera sur ces mots : « La différence est une richesse, le respect de l’autre est la condition pour que cette richesse prospère ».