BEAUREPAIRE. Les délégués départementaux de l’éducation nationale ont tenu leur assemblée générale.
Les délégués départementaux de l’éducation nationale (DDEN) ont innové en se réunissant pour la première fois à Beaurepaire où ils ont été accueilli par le maire Grégoire Micaux. La réunion, animée par le président de la délégation, Michel Souhaité, a commencé par l’installation officielle d’une nouvelle DDEN au sein de la délégation du secteur de Criquetot-l’Esneval, Mme Brigitte Lerouge, ancienne directrice de l’école maternelle d’Etretat. Mme Lerouge va oeuvrer dans le cadre du RPI regroupant les communes de Beaurepaire, Sainte-Marie-au-Bosc, Le Tilleul et La Poterie-Cap d’Antifer. Puis les DDEN ont fait le bilan de l’année scolaire 2013/2014 et échangé leurs impressions et constats suite aux premiers conseils d’école de l’année concernant les dix-neuf communes ayant une école. A cette occasion, ils ont fait le point sur les prévisions d’effectifs pour la rentrée prochaine et les éventuelles menaces de fermetures de classes. Ils ont pu à nouveau constater lors de leurs visites annuelles dans les écoles et lors des conseils d’écoles, que les élus des communes de l’ancien canton de Criquetot-l’Esneval étaient toujours très impliqués dans la mise en place des meilleures conditions de travail possibles pour les élèves et les enseignants avec une écoute attentive par rapport aux demandes des enfants, des parents et des enseignants. Un point a été également fait sur la mise en place de la réforme des rythmes scolaires, réforme qui avait été appliquée dès la rentrée 2013 dans six communes ( Criquetot-l’Esneval, Anglesqueville, Hermeville, Vergetot, Turretot et Saint-Jouin-Bruneval). Dans l’ensemble, le bilan de l’année pour ces six communes a été jugée globalement positif avec des améliorations mises en place pour l’année en cours. Les DDEN se sont félicités que l’Etat prolonge son aide financière pour les communes dans le cadre des activités mises en place par celles-ci et demandent que cette aide soit pérennisée définitivement, cette réforme ayant un coût budgétaire supplémentaire incontestable pour chaque commune. Les DDEN tiennent à rappeler que la réforme des rythmes scolaires n’est qu’une partie de la refondation de l’école et resteront vigilants par rapport à la mise en place des autres réformes promises et à venir.