SAINT-JOUIN-BRUNEVAL. Gabin Morel et Sasha Hardy du St Jouin/Bolbec Judo ont obtenu leur ceinture noire 1er Dan.
Ce fut d’abord à Bolbec lundi 17 mars puis à Saint-Jouin-Bruneval mardi 18, que furent attribuées deux nouvelles ceintures noires. Sasha Hardy qui a débuté à l’âge de 3 ans et demi, a toujours été fidèle à son professeur Guillaume Gille qui lui a fait gravir tous les échelons indispensables et incontournables : Ecusson d’or en poussin, 3ème au championnat de Normandie benjamin, membre de l’équipe de Seine-Maritime à la coupe de France par équipes et depuis cette saison de nombreux tournois en cadet 1ère année.
Donc des joies et des peines pour ce jeune collégien en classe de 3ème qui se destine à devenir comptable et qui devient un exemple pour ses camarades de club en étant la 4ème ceinture noire formée cette saison à Bolbec, à l’âge de 15 ans.
Gabin Morel, 16 ans en mai prochain, devient la ceinture noire attendue depuis Guillaume Debris, il y a douze ans. Il a commencé le judo à cinq ans. A fait des cours lors de sa primaire à Gonneville-la-Mallet. Rencontrant des problèmes d’équilibre, ses parents cherchent un sport et s’orientent vers le judo. Discipline qui lui plaît bien, il décide de continuer pour progresser. Fidèle à son club de Saint-Jouin, et comme il faisait de la compétition, il fit connaissance en allant s’entraîner à Turretot, de Jean-Claude Quellien dont il a vu l’arrivée il y a un an et demi à Saint-Jouin. Méthodiquement, il a gravi les étapes formatrices : Ecusson d’or en poussin, classé en département en benjamin puis minime, participations au France 2ème division et au France Espoir en cadet. Ce jeune en classe de seconde qui se destine à être notaire, n’est certainement pas prêt d’oublier d’où il vient avec sa fidélité à son club et à ses deux professeurs. En pleine possession de ses moyens, Gabin va déjà attaquer pour obtenir ses points en vue du 2ème Dan. « C’est super, c’est une première étape ». « Gabin et Sasha, des jeunes qui ont toujours travaillé fort, assidus aux entraînements, aux stages, aux compétions. Ils sont deux beaux exemples pour leurs coéquipiers » souligne Jean-Claude Quellien.
Le Côte d’Albâtre