VILLAINVILLE. L’association Tambour Battant souhaite la mise en place d’un conseil d’administration dans le cadre de son projet de centre pluriel.
Consciente de son impact sur le territoire, du manque d’infrastructure culturelle, de lieu de cohésion social mais également du besoin d’innover en matière d’enseignements artistiques, l’association Tambour Battant a le souhait de créer un lieu pluri-culturel. Lors de l’assemblée générale en septembre dernier, le président Stéphane Brasse et Nathalie Paillette avait évoqué la possibilité de racheter l’ancienne discothèque. Mardi, une assemblée générale extraordinaire s’est tenue pour débattre de ce projet. Martin a rappelé quelques points importants. Avec un bâti de 1000 m² et un terrain de 1,3 ha, la discothèque ouvre de larges possibilités pour mettre en place de nouveaux projets en plus d’accueillir l’école de musique. Des projets culturels (musique, danse, théâtre, spectacles), sociaux autour d’un café associatif pour en faire un lieu de vie, de rencontres qui pourrait accueillir des expositions, des débats… L’idée est également d’ouvrir à des projets pour la jeunesse (city-stade, jardin d’enfant, baby sitting pendant les cours…). La surface permettrait de créer une aire de stationnement de camping-car et d’établir une navette avec Etretat. Les idées ne manquent pas, un lieu commun pour tous, Villainville a l’avantage d’être au centre du canton.
Une gestion plus démocratique
Ce grand projet nécessite une gestion plus grande, plus démocratique soulignait Martin. Aussi, le bureau a la volonté de mette en place un conseil d’administration. L’idée est d’ouvrir à dix personnes, inclus le bureau, d’où le besoin de recruter sept personnes. A l’unanimité, cette proposition est acceptée.
La communauté de communes sollicitée
Un tel projet est financièrement lourd pour l’association. La propriété est proposé à la vente au prix de 650 000 euros auxquels s’ajoutent les frais de vente, de licence, les travaux à prévoir ce qui amènerait à une enveloppe de un million d’euros. Aujourd’hui la communauté de communes a été sollicitée pour porter ce projet, l’association a rencontré des élus dont la député Estelle Grelier qui trouvent le projet intéressant et s’engagent à l’appuyer. Ce dossier pourrait bénéficier jusqu’à 80% d’aides publiques (subventions du conseil général, du conseil régional, de l’Europe) mais obtenir ces financements, la communauté de communes doit choisir de mettre ce projet à son calendrier et de s’engager à la financer à hauteur des 20%. Cette contractualisation doit se faire suivant un calendrier dont l’échéance est bientôt atteinte. A ce jour, l’association reste dans l’attente des décisions de la communauté de communes. A l’heure où la communauté de communes doit se regrouper avec d’autres, un tel projet lui assurerait une identité culturelle. Trois autres projets seraient étudiés également par les propriétaires de la discothèque. Il est donc urgent de se décider et d’agir !
Bonjour
Connaissant ce site ; je ne vois pas une asso le tenir !! qui vat encore payer ?? 1 million d’euro !! rt quand je constate tous les dépassements des prévisions !!! et l’entretien de ce site ?? IL NE FAUT RESTER IMMOBILE MAIS AVOIR LES PIEDS SUR TERRE l!!c’est le même genre de politique que certains de nos élus ( proche de cette asso puisque des subventions communale ont déjà été voté pour cette asso ) mettent en œuvre !!; ce sera encore nos impôts !!!! car même les subventions c’ est nos impôts
L’étude de rentabilité est ou???
Cordialement
Jean