TURRETOT. Après deux années d’absence, auteurs et lecteurs se sont retrouvés avec bonheur au salon du livre.
Dimanche, le salon du livre organisé par l’association « Un mot, une page » présidée par Astrid Verdière a été largement plébiscité. Il est certain que ce rendez-vous qui a manqué ces deux dernières années, était attendu avec impatience que ce soit par les auteurs ou les lecteurs. Un salon très chaleureux et sympa qui accueillait une belle brochette d’auteurs.
Pas moins de trente auteurs, des fidèles de la première heure, des nouveaux venus présenter leurs ouvrages, Véronique Beaumont, Pierre Efratas, Odile Guernion…et de nombreux lecteurs venus à leur rencontre, découvrir leurs derniers ouvrages. Roman, polar, thriller, historique, humour noir, nouvelles, livres pour la jeunesse, il y en avait pour tous les goûts. Les achats ont été nombreux, certains ont fait une belle provision de livres et bien sur sans oublier de solliciter une dédicace. Les visiteurs ont retrouvé avec plaisir Catherine Vargues, Daniel Buquet, Gisèle Meunier, Ludovic Miserole qui après le crépuscule d’un libertin prépare une nouveauté qui va sortir le 14 juin « La belle de Caux » où l’on croisera Maupassant, Maurice Leblanc… La commune a ses auteurs, Robert Cottard dont le prochain livre sur lequel il travaille nous promet des lectures truculentes, Jérome Onof qui vient de sortir la suite de « λ 547 » un trhiller qui avait laissé sur sa faim et « ε 240» tout aussi captivant. Autre maître du suspens, Hervé Darques dont « la vengeance de Gillian » nous tient accroche dès le premier chapitre, difficile de lâcher sa lecture. Stéphane Maillot a plusieurs facettes, artiste, musicien, compositeur, auteur, il a publié de nombreux livres où il manie l’humour noir, un brin provocateur parfois. Depuis le confinement, il a écrit deux romans sous un pseudonyme, Dominique Destrées, « Des phares dans la nuit et le triomphe d’un ange ». Jean-François Rottier, fécampois est inspiré par le bord de mer et le pays de Caux. Il a commencé à écrire à l’âge de 16 ans « C’était un peu maladroit, mais écrire a toujours été un plaisir ». Il aurait aimé être journaliste. Depuis il a écrit quatorze livres, romans, nouvelles, « Peau d’âme » paru en septembre et un recueil de nouvelles « Les miroirs élastiques » écrit pendant le confinement. Des rencontres sympas, que du bonheur pour tous !
Le Côte d’Albâtre
